La Fête nationale est sous-financée

La Fête nationale est sous-financée

JONATHAN CUSTEAU – La Tribune – 13 octobre 2017

– Étienne-Alexis Boucher voudrait également que « la contribution exceptionnelle de Jacques Parizeau » soit soulignée en attribuant son nom à une infrastructure importante. Il suggère entre autres que l’édifice principal de Well inc. prenne le nom de l’ex-premier ministre. « Nous avons déposé une demande formelle au comité de toponymie et nous sommes sans nouvelle. »

Le vice-président de la SNE, Guillaume Rousseau, a dévoilé les deux autres revendications de l’organisme. Il aimerait que les candidats s’engagent à adopter une politique linguistique en établissant le français comme langue commune. Une telle politique, croit-il, aurait évité des controverses avec les murales « Peace » ou « Sher by love ». Des exceptions pourraient être prévues dans certaines situations, notamment pour des événements à Lennoxville.

Enfin, il aimerait une politique de commémoration pour permettre à des citoyens de faire des suggestions à la Ville pour les commémorations.

Le candidat à la mairie Steve Lussier, présent au point de presse, s’engage à soutenir la SNE davantage, sans préciser de montant. « Tant qu’à moi, il y aurait des fêtes dans tous les districts pour la Fête nationale. Je vais examiner ce qu’on peut faire pour trouver un partenaire financier. »

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